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Les meilleures pratiques pour sécuriser vos API Open Banking

par | 12 Juin 2025 | Développement Prestashop Belgique | 0 commentaires

À quoi sert l’open banking ?

L’open banking facilite le partage de données, ce qui a permis d’améliorer les services financiers pour les clients et les entreprises. Voici quelques fonctionnalités et outils financiers que l’open banking a rendus possibles :

  • Applications de budgétisation et d’épargne : L’open banking a permis la création d’applications tierces qui agrègent les informations des comptes bancaires d’un utilisateur et offrent des recommandations de budgétisation et d’épargne basées sur cette vue d’ensemble.
  • Meilleures décisions en matière de crédit et de prêt : Les prêteurs peuvent rapidement accéder à davantage de données financières et les analyser grâce à l’open banking, ce qui peut mener à de meilleures décisions en matière de crédit et à des approbations de prêt plus rapides.
  • Services bancaires sur mesure : Les établissements financiers peuvent utiliser les données obtenues par le biais de l’open banking pour offrir des produits et services personnalisés qui répondent aux besoins de chaque client, comme des taux d’intérêt personnalisés.
  • Paiements directs depuis un compte : Les API de l’open banking peuvent être utilisées pour effectuer des paiements directement à partir d’un compte bancaire, en contournant les systèmes de paiement traditionnels tels que les cartes de crédit, ce qui peut réduire les frais de transaction.
  • Amélioration de la détection des fraudes : L’accès à des données en temps réel permet aux établissements financiers et aux fournisseurs de services d’améliorer leurs capacités de détection de la fraude, réduisant ainsi le risque de transactions non autorisées.
  • Gestion des flux de trésorerie : Les entreprises peuvent utiliser des solutions d’open banking pour intégrer les données de différents comptes dans une seule plateforme et mieux comprendre leurs flux de trésorerie.
  • Connaissance du marché : Les entreprises peuvent analyser les données bancaires rendues disponibles par l’open banking pour obtenir des informations sur le comportement des clients, les tendances du marché et les conditions économiques.

Comment fonctionne l’open banking ?

L’open banking utilise des API pour partager des données financières entre les banques et les fournisseurs tiers autorisés. Le partage des données est subordonné au consentement du client, réglementé dans divers cadres. Voici comment fonctionne l’open banking :

Développement d’API

Les banques développent ou adoptent des API normalisées qui permettent à des fournisseurs tiers d’accéder aux données financières. Ces API agissent comme des passerelles sécurisées pour les demandes de données et leurs réponses.

Consentement du client

Un client consent explicitement à ce que le prestataire de services de paiement tiers puisse accéder à ses données financières. Le consentement est généralement géré par le biais d’une interface sécurisée et doit, conformément à la loi, être éclairé et explicite.

Accès aux données

Une fois le consentement donné, le prestataire tiers utilise les API pour demander à la banque l’accès aux données financières du client. Les API traitent ces requêtes de manière sécurisée et standardisée.

Authentification et autorisation

La banque vérifie l’identité du client et vérifie que le prestataire tiers est autorisé à accéder aux données. Le processus implique souvent des étapes d’authentification telles que la connexion via le portail de la banque ou d’autres vérifications de sécurité.

Partage des données

Une fois l’authentification et l’autorisation réussies, la banque partage les données demandées avec le fournisseur tiers via l’API. Les données peuvent inclure les soldes des comptes, l’historique des transactions, les fonctionnalités de déclenchement de paiement, etc.

Utilisation des données

Le fournisseur tiers utilise ces données pour proposer des services au client. Il peut s’agir de gestion financière, de conseils financiers personnalisés, de processus de prêt simplifiés ou de services de paiement.

Consentement et sécurité sur une base continue

Les clients peuvent gérer ou retirer leur consentement à tout moment. Les banques et les fournisseurs tiers doivent se conformer à des mesures de sécurité strictes pour protéger les données et en assurer la confidentialité.

Cadre réglementaire

L’open banking est réglementé par les organismes gouvernementaux et les législations nationales, qui dictent les normes de sécurité, les procédures de consentement du client et les types de données qui peuvent être partagées dans le cadre de l’open banking. Les organismes de réglementation surveillent en permanence les banques et les fournisseurs tiers pour s’assurer qu’ils respectent la réglementation relative à l’open banking.

Quels sont les défis en matière de sécurité de l’open banking ?

L’open banking accroît l’exposition des données financières sensibles et exige des mesures de sécurité avancées pour protéger ces données contre tout accès non autorisé. Les défis en matière de sécurité posés par l’open banking doivent être relevés au moyen d’une combinaison de technologies de pointe, de processus de sécurité bien conçus et d’une vigilance constante. Voici les principaux défis de l’open banking en matière de sécurité :

Confidentialité des données et consentement

L’accès aux données financières personnelles n’est possible que si le client y consent explicitement. Il doit également être en mesure de révoquer cet accès à tout moment.

Accès à l’API

Les API ouvrent des portes vers les données et doivent être bien protégées contre les accès non autorisés et les attaques.

Risques liés aux tiers

Les niveaux de sécurité des services tiers varient.

Chiffrement et intégrité des données

Les données doivent être chiffrées pour ne pas être altérées ou lues si elles sont interceptées.

Détection de la fraude

Un meilleur accès aux données peut potentiellement conduire à de nouveaux types de fraude.

Conformité réglementaire

Les réglementations peuvent varier selon les régions et évoluer au fil du temps, ce qui affecte la manière dont les données doivent être traitées.

Gestion des identités et des accès

Les utilisateurs individuels doivent être vérifiés et leur accès aux données doit être géré avec soin.

Résilience et réponse aux incidents

Les services doivent rester disponibles, même en cas de problème. Les failles de sécurité doivent être traitées rapidement pour minimiser les dégâts.

Comment fonctionnent les API avec l’open banking ?

Les API constituent l’épine dorsale de l’open banking, car elles permettent aux applications et aux services de s’intégrer aux banques et d’accéder aux données financières de manière sécurisée et standardisée. Voici comment elles fonctionnent :

Agir en tant que messager sécurisé

Les API envoient des demandes d’informations (par exemple, le solde de votre compte, l’historique des transactions) à partir de l’application que vous utilisez (par exemple, une application de budgétisation) à votre banque et transmettent la réponse de la banque à l’application. Cela vous permet d’utiliser une variété de services financiers par le biais d’applications tierces tout en assurant la sécurité de vos coordonnées bancaires.

Gérer les autorisations

Lorsque vous utilisez une nouvelle application ou un nouveau service financier, l’API vous demande si l’application peut accéder à vos informations. Si vous répondez oui, cela permettra à l’application d’obtenir uniquement les données dont elle a besoin. Cela vous permet de garder le contrôle sur les entités qui peuvent consulter vos informations financières et de vous assurer que les applications accèdent uniquement aux données nécessaires.

Fournir des données en temps réel

Les API permettent aux applications de récupérer des données à jour directement auprès de votre banque, qu’il s’agisse de vos dernières transactions ou de la vérification de la propriété d’un compte. Cela facilite une grande variété de services de technologie financière, y compris les applications de budgétisation et les approbations de prêt automatisées.

Uniformiser la communication

Les API de l’open banking suivent des normes spécifiques, ce qui signifie qu’elles parlent un « langage commun » bien qu’elles soient utilisées par différentes banques et applications, ce qui garantit que les applications et les services peuvent fonctionner sans problème avec différentes banques et différents établissements financiers.

Préservation de la sécurité et de la confidentialité

Les API appliquent des mesures de sécurité telles que le chiffrement pendant les transferts de données et garantissent que seules les demandes autorisées sont traitées. Elles agissent en tant que gardiennes, empêchant tout accès non autorisé, préservant votre vie privée et protégeant vos données financières contre les cybermenaces.

La sécurité des API dans l’open banking

L’amélioration de la sécurité des API dans l’open banking nécessite un système multicouche pour garantir la sécurité de toutes les interactions entre les banques, les fournisseurs tiers et les clients et le maintien de l’intégrité des données. Voici les aspects de sécurité qui doivent être pris en compte avec les API :

Authentification et autorisation

Les protocoles d’authentification et d’autorisation garantissent que les API ne sont accessibles qu’aux utilisateurs et aux services légitimes.

Chiffrement

Le chiffrement est utilisé pour protéger les données lorsqu’elles se déplacent entre les systèmes (en transit) et lorsqu’elles sont stockées (au repos). L’utilisation de protocoles de chiffrement puissants et actualisés empêche l’interception par des attaquants.

Passerelles d’API

Les passerelles d’API permettent de gérer et de sécuriser le trafic vers les API. Une passerelle d’API agit comme un proxy inversé pour accepter tous les appels à l’API, agréger les services nécessaires pour les exécuter et renvoyer le résultat approprié. Elle gère la limitation du débit, la liste blanche d’adresses IP et le contrôle d’accès. Les passerelles peuvent fournir des informations sur les modèles de trafic et alerter les administrateurs des menaces de sécurité potentielles.

Pratiques de développement d’API sécurisées

Les API sont sécurisées de par leur conception. Les développeurs doivent adhérer à API Security Top Ten de l’Open Web Application Security Project (OWASP), un document de sensibilisation à la sécurité des API.

Limite d’appels et de débit

La limite d’appels et de débit empêche l’utilisation abusive des API. Le processus consiste à limiter le nombre de demandes qu’un utilisateur ou un service peut effectuer au cours d’une période donnée. Si ce nombre dépasse la limite, les requêtes supplémentaires sont retardées ou bloquées. Cela permet de gérer la charge et de garantir la disponibilité des services, même en cas de trafic élevé ou d’attaque.

Audits de sécurité et tests d’intrusion réguliers

Des audits de sécurité et des tests d’intrusion réguliers évaluent en permanence le niveau de sécurité des infrastructures d’API. Ces pratiques doivent faire partie d’un protocole de sécurité régulier et répondre aux normes de l’industrie et aux exigences de conformité. Les audits de routine et les tests d’intrusion permettent de détecter les vulnérabilités avant qu’elles ne soient exploitées.

Systèmes de détection et de réponse aux anomalies

Ces systèmes détectent les activités inhabituelles susceptibles d’indiquer une faille de sécurité et y répondent, en utilisant l’apprentissage automatique et d’autres analyses avancées pour surveiller les modèles de trafic des API et signaler automatiquement les activités qui s’écartent de la norme. Ils sont souvent intégrés à des mécanismes de réponse aux incidents pour isoler et atténuer rapidement les menaces potentielles.

Utilisation d’une stratégie de sécurité basée sur les risques

L’utilisation d’une stratégie de sécurité basée sur les risques implique de hiérarchiser les efforts et les ressources de sécurité en fonction de la probabilité et de l’impact potentiel de diverses menaces. Une stratégie de sécurité basée sur les risques permet à une organisation de rester agile et réactive face aux nouvelles menaces et de garantir que les ressources de sécurité sont utilisées efficacement et se concentrent là où elles sont les plus utiles. Cela est particulièrement important dans les environnements où les budgets de sécurité sont limités ou où les paysages technologiques évoluent rapidement.

Voici comment fonctionne généralement une stratégie de sécurité basée sur les risques :

Évaluer les risques

Identifiez et évaluez les risques en fonction de leur impact potentiel et de la probabilité qu’ils se produisent. Cartographiez les actifs de l’organisation et déterminez les menaces auxquelles chaque actif est confronté, en évaluant les vulnérabilités et les impacts potentiels de ces menaces. Utilisez des techniques telles que la modélisation des menaces et les analyses de vulnérabilité.

Hiérarchiser les risques

Déterminez les risques qui nécessitent une attention immédiate, ceux qui peuvent être surveillés et ceux qui sont acceptables. Classez les risques en fonction de leur gravité et de leur probabilité, en donnant la priorité aux risques à fort impact et à forte probabilité pour une atténuation immédiate.

Mettre en place des contrôles

Appliquez les contrôles les plus appropriés et les plus rentables pour gérer et atténuer les risques les plus prioritaires. Mettez en œuvre différents types de contrôles (p. ex., prévention, détection, correction) en fonction du risque. Les contrôles peuvent comprendre des solutions technologiques (comme les pare-feu et le chiffrement), des politiques et des procédures, ainsi que des programmes de formation et de sensibilisation.

Surveiller les systèmes de sécurité

Surveillez en permanence les mesures de gestion des risques pour vous assurer qu’elles sont efficaces. Ce processus peut impliquer des audits de sécurité réguliers, l’utilisation de systèmes de détection d’intrusion et la surveillance des journaux d’accès et d’autres événements de sécurité.

Apprendre et se perfectionner

Ajustez les mesures en fonction des nouvelles menaces, des changements dans l’organisation ou des leçons tirées de la surveillance continue. Utilisez les conclusions des phases de surveillance et d’examen pour améliorer les pratiques de sécurité et mettre à jour les évaluations et les contrôles des risques au fur et à mesure que des incidents se produisent et que des vulnérabilités sont identifiées.

Mise en œuvre de politiques zero trust

Alors que les modèles de sécurité traditionnels supposent que tout ce qui se trouve à l’intérieur du réseau d’une organisation est fiable, les politiques zero trust n’accordent jamais la confiance par défaut. Le zero trust exige une vérification d’identité rigoureuse pour toute personne essayant d’accéder aux ressources réseau, qu’elle se trouve à l’intérieur ou à l’extérieur du périmètre du réseau. Voici comment les politiques zero trust sont généralement mises en œuvre :

Vérifier explicitement

Chaque demande d’accès doit être vérifiée avant que l’accès ne soit accordé, quelle que soit l’origine de la demande ou la ressource à laquelle elle accède. Utilisez l’authentification multifacteur, la biométrie et l’analyse comportementale pour vérifier l’identité des utilisateurs, et utilisez une authentification contextuelle qui prend en compte des variables telles que l’état de l’appareil, l’emplacement et l’heure d’accès.

Utiliser le principe du moindre privilège

Minimisez l’exposition de chaque utilisateur aux parties sensibles du réseau en leur accordant ainsi qu’aux appareils le niveau d’accès minimum nécessaire pour effectuer leurs tâches. Gérez cela grâce à des politiques et des rôles de contrôle d’accès stricts, qui sont examinés et mis à jour régulièrement.

Segmentation

Divisez le réseau en segments afin de réduire les mouvements latéraux au sein du réseau par les attaquants. Cela crée des micro-périmètres autour des données et des systèmes sensibles et rend plus difficile pour un attaquant de se déplacer sur le réseau s’il y accède.

Défenses en couches

Mettez en œuvre plusieurs couches défensives qu’un attaquant doit contourner pour accéder aux ressources. Utilisez une combinaison de pare-feu, de systèmes de détection et de prévention des intrusions (IDS/IPS) et de chiffrement des données en transit et au repos.

Surveiller et maintenir la sécurité

Surveillez en permanence l’ensemble du trafic réseau et des activités des utilisateurs afin de détecter les menaces et d’y répondre en temps réel. Utilisez des systèmes de gestion des informations et des événements de sécurité (SIEM) pour analyser et corréler les journaux afin de détecter tout comportement anormal. L’apprentissage automatique peut aider à reconnaître les modèles qui s’écartent de la norme.

La sécurité en tant que processus intégré

Assurez-vous que la sécurité est un élément clé de chaque projet informatique et de chaque opération commerciale dès le départ. Organisez régulièrement des formations sur la sécurité pour tous les employés et intégrez la sécurité dans le cycle de vie du développement logiciel (DevSecOps).

Identification et protection contre les vulnérabilités

L’identification et la protection contre les vulnérabilités impliquent la découverte, la catégorisation et la résolution systématiques des failles de sécurité ou des faiblesses des logiciels et du matériel que les attaquants pourraient exploiter. Voici globalement comment cela fonctionne :

Identification des vulnérabilités

Effectuez régulièrement des analyses de vulnérabilité à l’aide d’outils automatisés qui comparent les configurations système et les logiciels installés aux bases de données de vulnérabilités connues. Les tests d’intrusion, où des pirates éthiques tentent d’exploiter les vulnérabilités, fournissent également des informations sur les faiblesses du système.

Évaluation de la vulnérabilité

Une fois que les vulnérabilités sont identifiées, évaluez-les en fonction de facteurs tels que la facilité d’exploitation, l’impact potentiel d’un exploit et le degré d’exposition du système. Cela permet de hiérarchiser les efforts de remédiation en fonction de la nature et de la gravité du risque posé.

Gestion des correctifs

Les éditeurs de logiciels fournissent des correctifs ou des mises à jour pour corriger les vulnérabilités. Mettez en œuvre un processus systématique pour l’application en temps opportun des correctifs de sécurité, des mises à jour et des correctifs afin de vous assurer que les vulnérabilités sont résolues dès que des correctifs sont disponibles.

Gestion de la configuration

Utilisez des outils de gestion de la configuration pour vous assurer que les systèmes sont configurés en toute sécurité et maintenus dans un état cohérent. Examinez et renforcez régulièrement les configurations afin de minimiser les surfaces d’attaque et d’éviter les vulnérabilités dues à des erreurs de configuration ou à des paramètres par défaut.

Protection contre les menaces zero-day

Utilisez des technologies avancées de détection des menaces, telles que des systèmes de détection basés sur le comportement, qui ne reposent pas uniquement sur des signatures de vulnérabilité connues. Ces systèmes permettent d’identifier et de limiter les activités inhabituelles susceptibles d’indiquer un exploit en cours et de se défendre contre les vulnérabilités qui ne sont pas encore connues ou pour lesquelles aucun correctif n’existe.

Formation et sensibilisation

Proposez une formation continue sur la cybersécurité à tous les employés, en mettant l’accent sur la reconnaissance des tentatives d’hameçonnage, la gestion sécurisée des mots de passe et la compréhension de l’importance des mises à jour logicielles régulières. Cela permet de minimiser les erreurs humaines, qui peuvent créer ou aggraver des vulnérabilités.

Audits et contrôles de conformité réguliers

Effectuez régulièrement des audits de sécurité et des contrôles de conformité pour évaluer dans quelle mesure les politiques de sécurité sont suivies et pour identifier toute lacune dans la posture de sécurité de l’organisation. Cela permet de s’assurer que les pratiques de sécurité sont conformes aux normes et réglementations établies.

Planification de l’intervention en cas d’incident

Élaborez et testez régulièrement un plan d’intervention en cas d’incident qui décrit les mesures à prendre en cas de violation de la sécurité. Le plan doit comprendre des procédures de confinement, d’éradication, de rétablissement et d’analyse après incident.

Conclusion

Pour conclure, la sécurité des API dans le cadre de l’open banking est cruciale pour protéger les données financières sensibles et garantir la confiance des clients. En mettant en œuvre des pratiques de sécurité robustes, telles que l’authentification et l’autorisation, le chiffrement, la gestion des vulnérabilités et l’utilisation de politiques zero trust, les institutions financières peuvent renforcer leur posture de sécurité et se prémunir contre les cybermenaces. Si vous souhaitez un accompagnement dans la mise en place de vos API sécurisées, n’hésitez pas à contacter notre agence PrestaShop Belgique pour la création de site e-commerce à Bruxelles.

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